Lorsque ce Meneur Accompagnateur en Tourisme Equestre, arrive à sa pâture comme chaque jour où ils retrouvent ses 4 chevaux, il ne voit pas Quamille... Il ouvre la porte grillagée... s'avance… distingue une forme à environ 30 mètres plus loin… prend peur…. Continue et découvre sa jument, allongée dans le chemin avec une trace de sang près de sa tête.
Quamille qui était douce, câline, gourmande, et faisait tant confiance à l'homme, est là, découpée sur place, dépecée, gisant dans la boue et le sang, les yeux encore ouverts.
Des fous sont venus la tuer dans la nuit de dimanche à lundi (nuit du 23 au 24 mars 2008), la découper en morceau et sont repartis avec la viande fraiche. Ces derniers ont semble t'il prémédité leur coup et la façon dont a été découpé la jument laisserait à penser que ces bourreaux sont experts en découpage de viande et que ce n'est pas l'œuvre d'amateurs ! En effet tout ce qui est consommable a été emporté et les lignes de coupe sont nettes et précises.
D'après le rapport du vétérinaire, l'animal serait tombé sous le coup de feu mais n'en serait pas morte. Elle aurait alors été sonnée et serait tombée inconsciente. La mort serait survenue par hémorragie et c'est probablement pendant ce temps que ces bouchers (le terme est bien approprié) l'auraient tranquillement découpée. Le propriétaire qui a porté plainte, pleure aujourd'hui sa jument et reste choqué (certainement à vie) par cette vision d'horreur. Quant à la Fondation Brigitte Bardot, elle s'est bien sur portée partie civile. En pleine campagne contre l'hippophagie nous nous insurgeons contre cette barbarie à ciel ouvert !